Vous n’y pensiez certainement pas. Et pourtant votre mémoire est un outil puissant pour améliorer votre assurance, votre confiance en vous. Il y a juste une condition. Mais elle est facile à remplir : que votre mémoire ne soit pas trop bonne !
Rassurez-vous, si vous manquez de confiance en vous, c’est probablement déjà le cas… Il existe en effet une corrélation, très peu connue, entre l’état de la mémoire et la confiance en soi. Donc si vous manquez de confiance en vous ET que votre mémoire n’est pas à son zénith, ce qui est le cas le plus courant, alors vous êtes éligible.
Dans ce cas, pour ce qui est de la confiance en soi, cela pourrait bien changer, et vite. Je dirais même que c’est votre vie qui pourrait bien changer.
Tenez, Florian Manicardi, classé meilleur espoir au championnat de France de mémoire en 2020 me l’a d’ailleurs confirmé : « Développer ma mémoire m’a donné confiance en moi ».
Mais pourquoi ne pas chercher à développer directement la confiance en soi ? Pourquoi faire le détour par la mémoire ? Réponse : devenir confiant en soi-même quand on n’a pas confiance en soi n’est pas une mince affaire. On part de loin, cela demande de la méthode et de la détermination. Et cela prend du temps, il faut tenir sur la longueur sans se décourager. Les abondons, les échecs sont nombreux.
Il est bien plus facile et plus rapide de contourner ce problème en agissant sur sa mémoire. Je ne vous parle évidemment pas de devenir champion de mémoire comme Florian ! Il n’a d’ailleurs certainement pas eu besoin d’attendre d’être lauréat pour gagner en assurance.
En effet le processus d’amélioration de votre mémoire entraine de lui-même, automatiquement, une amélioration de la confiance en vous. Et je vous parle simplement de faire quatre choses faciles et capables d’améliorer votre mémoire. Une méthode testée et vérifiée. Et qui améliore votre qualité de vie en prime. Intéressé ?
Voici pourquoi améliorer votre mémoire va augmenter votre confiance en vous
Arrêtez-vous une minute sur ces deux évidences.
Quand vous avez une bonne mémoire, vous lui faite confiance. Vous ne doutez pas de vos acquisitions. Vous parlez sans hésitation de ce que vous savez. Vous n’avez pas besoin de vérifier. Au contraire, si votre mémoire est déficiente, vous ne lui faites pas confiance. Vous vous demandez systématiquement si vous n’êtes pas en train de vous tromper, vous vérifiez plutôt deux fois qu’une.
Dans le premier cas, vous vous affirmez. Vous dégagez auprès des autres une impression de sérieux, de fiabilité. On vous fait confiance. Le regard des autres sur vous est valorisant. Dans le second cas, vous ne vous affirmez pas. Vous apparaissez comme hésitant, jamais sûr de rien. Sous le regard des autres vous devenez plus ou moins transparent. On ne se fie pas beaucoup à vous.
De plus une bonne mémoire permet des quantités de réussites diverses. C’est évident pour les examens par exemple. Mais aussi pour achever une nouvelle formation avec succès.
Ou encore pour vous y retrouver dans une quantité de documents. Vous savez où se trouvent les informations dont vous avez besoin. Avoir une bonne mémoire vous donne des idées claires. Vous devenez rapide et plus efficace. Etc.
Ce n’est pas courant. La moitié des gens affirment avoir une mauvaise mémoire. Et, au travail, à qui s’adressent-ils pour se rassurer ? Vers celui ou celle qui a des souvenirs fiables. Et votre confiance en vous augmente.
Sans oublier que, doté d’une bonne mémoire vous n’êtes plus déstabilisé par le stress. On dit souvent que le stress est l’ennemi n°1 de la mémoire. Mais l’inverse est tout aussi vrai. Une bonne mémoire est bel et bien l’ennemi n° 1 du stress qui, je ne vous l’apprends pas, tend à saper la confiance en soi.
La confiance en vous dépend cependant aussi des autres
Cela commence tôt avec le regard des parents sur l’enfant. Mais la majorité des gens n’ont pas eu la chance d’avoir eu des parents suffisamment présents, encourageants et valorisants. C’est pourquoi beaucoup de personnes manquent de confiance en elles-mêmes très tôt.
Il leur faut donc acquérir la confiance en soi sur le tard, souvent à l’âge adulte. Il existe des coachings ou des entraînements pour cela. C’est coûteux et assez éprouvant psychologiquement. Les résistances au changement sont fortes. Paradoxalement, il faudrait déjà disposer d’une assez bonne confiance en soi pour suivre avec confiance ce genre de programme.
Heureusement, vous pouvez acquérir une bonne confiance en vous sans « travailler sur vous » péniblement. Il s’agira alors plutôt de changer le regard des autres sur vous grâce à des « réussites ».
En effet, votre réussite, lorsqu’elle est perçue par les autres, change leur regard sur vous. Même si c’est sans rapport avec leurs centres d’intérêt. Par exemple si vous vous classez au semi-marathon local. Ou si vous gagnez un concours de pêche ! A leurs yeux, votre valeur augmente. Vous devenez « intéressant » et leur regard devient positif.
Cela augmente un peu votre confiance en vous en société ou au travail. Seulement, cet intérêt centré sur vous ne va pas durer très longtemps. Le souvenir du concours de pêche va s’évaporer assez vire.
Alors imaginez une réussite permanente que les autres pourraient constater jour après jours Est-possible ? Eh bien oui, ce sera le cas si vous améliorez votre mémoire. Le regard des autres sur vous deviendra positif et le restera.
Or, la confiance en soi commence toujours par un regard positif sur soi, sur la durée. Une bonne mémoire, c’est le vecteur idéal pour avoir des retours positifs.
Le regard positif des autres suffit-il pour booster la confiance en vous ?
Un regard positif constant dans l’enfance et l’adolescence oui (ça commence toujours par-là). À l’âge adulte, probablement non. C’est indispensable mais ça ne suffit pas. Mais fort heureusement, si vous obtenez une excellente mémoire, nous avons vu plus haut que cela vous amène intrinsèquement de l’assurance, de la confiance.
Par exemple, vous vous sentez désormais capable de participer à une conversation. Vous perdez cette sensation pénible de n’avoir jamais rien à dire. Vous vous rappelez fort bien le nom des gens, leurs centres d’intérêts et les discussions précédentes.
Vous ne vous perdez plus dans les aide-mémoires et les post-it. Vous avez les idées plus claires ainsi. Vous vous sentez beaucoup plus sûr de vous.
L’auto-évaluation que vous faites de vos compétences s’améliore. Vous êtes de moins en moins négatif à votre égard. Vous vous sentez plus capable. De ce fait vous ne refusez plus des tâches qui vous paraissaient trop compliquées auparavant. En les menant à bien vous aller encore augmenter votre confiance en vous.
Finalement c’est une « boucle de rétroaction » positive qui s’installe. Dès que vous vous sentez plus assuré vous tentez des expériences que vous n’auriez pas tentées avant. La réussite va vous rendre encore plus sûr de vous. Vous allez donc tenter… etc.
Mais l’augmentation de votre assurance, de votre fiabilité, augmente votre « valeur » aux yeux des autres. Vous percevez l’augmentation de l’estime des autres et cela conforte votre confiance en vous. Ce qui conforte l’opinion des autres sur vous etc.
J’ai constaté au fil du temps que toutes les personnes que j’ai aidé à améliorer leur mémoire sont passées par ce processus. Elles ont nettement amélioré ainsi leur confiance en elles-mêmes. Absolument toutes. Il ne vous reste plus qu’à vous y mettre.
Mais comment améliorer sa mémoire efficacement ?
C’est là que le sujet devient intéressant. Pour devenir champion en matière de mémorisation, il faut des mois d’entrainement intensif, quasiment à plein temps. Ensuite, il faut continuer l’entraînement plusieurs par jour. Et surtout ne jamais s’arrêter ! Sinon, les capacités diminuent.
Pour devenir « seulement » un bon mémorisateur il faut consacrer quelques heures à bien s’imprégner des modifications à faire dans votre quotidien. Ensuite il faut juste en faire une routine. Et c’est tout.
Je vous préviens, c’est contre intuitif. Vous n’allez pas y croire. Vous risquez de ne pas même essayer. Et alors vous aurez perdu une chance sérieuse d’augmenter votre assurance, votre confiance en vous. Alors que vous le pouvez sans difficulté.
Vous allez devoir tester : c’est le seul moyen de constater par vous-même que ça fonctionne. Laissez de côté vos impressions. Faites juste l’expérience.
Il y a 4 domaines majeurs dans lesquels un petit changement vous permettra d’améliorer votre mémoire. Sans même la faire travailler ! Ces quatre petits ajustements en amont peuvent faire de vous un super mémorisateur. Et quelqu’un plein d’assurance.
C’est juste une question d’hygiène de vie. Non, ne partez pas, je vous jure que c’est vrai ! Jetez donc un coup d’œil là-dessus…
Améliorez votre hygiène de vie
C’est le type même de prescription qui laisse sceptique. Et pourtant… Les tests de mémorisation (et surtout de remémoration) sont formels : c’est très efficace.
Voici les quatre axes principaux.
Le sommeil : dormez bien et suffisamment.
Lorsque l’on se discipline pour dormir assez et bien, la courbe d’amélioration de la mémorisation suit la courbe d’amélioration du sommeil. Et dans toutes les enquêtes et expérience, on constate une différence significative des résultats entre les « bien dormeurs » et les autres.
Il n’y a qu’en testant que vous le constaterez. Ce n’est pas compliqué. Il est conseillé de se coucher juste avant le début d’un cycle de sommeil. Ainsi vous vous endormez vite. Veillez à dormir au moins 7 h 30 par nuit, 8 heures si possible. Et de commencer à dormir avant minuit.
Maintenant, comprenez bien pourquoi votre mémoire y gagne. Toutes les nuits, votre cerveau « révise » comme un fou, tout ce que vous avez vu, entendu, compris, appris dans la journée. Comme un fou, parce qu’il « rallume » tous les circuits de neurones qui ont participé à ces acquis des milliers de fois par seconde.
C’est de cette activité frénétique nocturne que dépendent vos mémorisations de la veille. Or, la qualité de cette « révision » dépend de la qualité de votre sommeil. Des expériences de mémorisation ont montré des baisses importantes de remémoration en retardant l’endormissement, en diminuant le temps de sommeil, ou en le perturbant par des réveils.
Mais comment repérer facilement l’heure à laquelle vous devriez vous coucher pur vous endormir sans délai ? Cet article vous explique la méthode. Vous allez voir que c’est simplissime !
Soyez zen, faites barrage au stress.
Vous avez deux bonnes raisons de le faire. D’abord le stress détériore la mémorisation. Il n’existe aucun moyen de mémoriser correctement lorsque vous êtes en état de stress. La moitié des informations se perd en route.
Ensuite, si la mémorisation s’est faite correctement, sans stress, mais que ce dernier intervient au moment de la remémoration, celle-ci devient aléatoire. C’est le cas typique de la personne qui ne retrouve plus ce qu’elle sait pourtant bien devant un examinateur par exemple.
De plus, si vous êtes constamment stressé, vous ne pouvez plus vous faire confiance. Votre confiance en vous diminue. Le regard des autres change et contribue à l’effondrement progressif de l’estime que vous vous portez.
Autant de raisons de chercher à vous débarrasser de votre stress.
Faire barrage au stress est facile quand on fait régulièrement de la méditation. Cela demande un long apprentissage mais il y a encore mieux. Et bien plus facile. Une petite application à charger sur votre téléphone. En 5 minutes chrono, elle est capable de faire baisser votre taux de cortisol à toute allure.
Le cortisol c’est l’hormone du stress. Vous trouverez les explications dans l’article sur le sommeil conseillé ci-dessus. Mais ce n’est pas tout, cette application vous fait secréter de la DHEA, « l’hormone du bonheur ».
Et il se trouve que moins de cortisol et plus de DHEA est une configuration excellente pour susciter un excellent sommeil… L’ensemble est vertueux : meilleure mémorisation, meilleur sommeil donc meilleure consolidation nocturne, et meilleure remémoration.
Tout ça avec une application ? Oui, je sais, ça parait bizarre. En plus c’est gratuit. C’est conçu par des médecins, c’est du sérieux. Cliquez sur le lien plus haut et vous comprendrez que tout cela est authentique.
Oxygénez-vous
Il ne s’agit même pas de faire du sport. Mais juste de s’oxygéner. Car nous sommes assez fréquemment en déficit d’oxygène, parfois en limite d’hypoxie.
Diverses expériences ont comparé les performances de mémoire après avoir, par exemple, fait du vélo d’appartement ou regardé la télévision. On a fait aussi les mêmes expériences en plaçant les apprentissages avant une séance de vélo ou de télévision.
Ça marche dans les deux cas ! On constate une « prime à l’oxygène » assez significative. La mémorisation est meilleure, la remémoration aussi. Et en plus on se sent mieux après s’être un peu oxygéné.
Certaines entreprises l’ont bien compris et proposent des intermèdes collectifs de gym douce à leurs employés. Car cela améliore aussi la qualité du travail et fait diminuer les erreurs. C’est toutefois encore peu pratiqué en France mais vous pouvez individuellement faire des exercices respiratoires plusieurs fois par jour, sautiller sur place ou faire des étirements en vidant bien les poumons entre chacun d’entre eux.
Pourquoi cela serait-il favorable à la mémoire ? Eh bien, pensez donc que le cerveau prélève plus de 20 % de l’oxygène à chaque inspiration. Alors qu’il pèse moins de 2 % de notre corps ! Pourquoi ? Parce que ses besoins en oxygène sont énormes.
Dès lors que vous ne faites pas un travail physique, il y a des chances pour que vous soyez en limite d’hypoxie. C’est ce qui occasionne ces besoins de prendre par moment de grandes goulées d’air. Ou bien encore une certaine torpeur, une perte d‘allant ou une fatigue intellectuelle sans raison apparente.
Donc ne craigniez pas de faire régulièrement de la ventilation pulmonaire à l’atelier ou au bureau. Vous allez vous faire remarquer ? Et alors ? Voilà une excellente occasion pour vous affirmer !
Buvez de l’eau
Vous vous ferez certainement moins remarquer en buvant de l’eau… Au travail ou chez soi, nous sommes assez souvent en déficit hydrique sans le savoir. Pas besoin d’attendre d’avoir soif pour boire de l’eau.
Notre cerveau, qui est constitué d’eau à 80 % fonctionne mal en cas de restriction d’eau. Cela touche toutes les fonctions cérébrales, notamment la mémoire. Il a besoin d’eau non seulement pour fonctionner mais aussi pour évacuer les déchets de son activité.
Par ailleurs, dès que le cerveau doit faire face à une restriction, d’eau ou d’oxygène, il fonctionne en mode dégradé. Cela n’impacte pas les fonctions vitales physiques. En revanche, les fonctions cognitives sont priées de faire des économies d’énergie.
C’est pourquoi en cas de déshydratation sérieuse, on a du mal à penser, à raisonner. On en vient rarement à cette extrémité. Sauf, sans doute, en cas de canicule car on ne se rend pas toujours compte que l’on commence à se déshydrater.
Il y a encore peu d’études concernant l’effet sur la mémoire spécifiquement. Mais nous en avons qui montrent des difficultés cognitives globales, disparaissant après réhydratation.
En cas de déshydratation légère on constate tout de même de la lenteur et de la fatigue dès lors qu’il faut réfléchir et mémoriser. Tous les chercheurs signalent des perturbations cognitives en plus des symptômes physiques. La plupart signalent des problèmes de concentration et de mémoire. Alors c’est décidé, buvez de l’eau !
Dormir, chasser le stress, s’oxygéner et boire de l’eau…
c’est vraiment sérieux pour gagner de la confiance en soi ?
Ça ne ressemble effectivement pas à ce que vous avez lu jusque-là. Pourtant c’est très sérieux. C’est même la solution la plus simple à mettre en œuvre (où serait la difficulté ?) pour améliorer votre mémoire de façon significative et durable. Pour ne pas dire constante.
Et l’amélioration de la mémoire a pour effet systématique d’améliorer la confiance en soi. C’est un fait indéniable. On n’a jamais vu se produire le contraire ! Donc c’est très sérieux. Mais, vous ne pouvez pas vosu empêcher de douter. Pourquoi ?
En fait c’et parce que ces quatre recommandations ont un énorme défaut. Elles paraissent trop simples. Nous aimons bien les choses compliquées, elles nous paraissent plus crédibles… La simplicité a toujours du mal à convaincre.
Pourtant, il suffit d’essayer pendant quelques jours. La véritable preuve du sérieux de cela se trouve dans l’expérimentation personnelle. Il n’y a rien de compliqué. Reportez-vous aux articles recommandés.
Vous pourrez très bien « réinitialiser » votre sommeil du jour au lendemain. Ensuite vous vous tenez à votre nouvelle habitude et c’est tout. Vous pouvez très bien devenir zen en permanence avec 3 séances de 5 minutes par jour de l’application que j’ai évoquée plus haut.
Quant à s’oxygéner un peu et boire de l’eau, ne me dites pas que vous ne saurez pas le faire ! C’est ridiculement simple et facile.
Le plus difficile ce sera de passer outre votre incrédulité. Ce sera d’oser faire cette expérience. Vous n’avez rien à perdre et tout à gagner. Vous allez même y trouver de l’agrément. Et surtout votre fonctionnement intellectuel et votre mémoire vont s’améliorer et votre confiance en vous-même va faire un bond en avant. C’est tout ce qu’on vous souhaite.
Conclusion pour les sceptiques
Je m’adresse ici aux fortes têtes, à ceux qui « savent » d’avance que ça ne va pas marcher et qui n’essaieront pas. Je leur dis chiche ! Faites donc l’expérience, et prouvez-moi que ça ne marche pas… Alors chiche ?
Je sais que vous vous attendiez à des trucs centrés sur la mémorisation elle-même. Mais pas à une modification de votre hygiène de vie. Mais c’est comme ça. Désolé mais c’est ça qui marche le mieux.
Cela ne veut pas dire qu’il n’existe pas de techniques, méthodes ou procédés pour mieux mémoriser dans certains cas particuliers. En fait il en existe. Mais citez-moi une seule personne qui aurait réussi avec ça à améliorer globalement sa mémoire de façon durable.
Vous n’en trouverez pas. D’ailleurs, si vous lisez cet article, c’est peut-être bien parce que vous avez essayé sans grand succès. Je me trompe ?
Mais bon, c’est vrai, il existe par exemple une méthode simple pour mémoriser l’intégralité d’une intervention orale, sans l’avoir apprise par cœur. Il existe des procédés pour mettre en œuvre sans erreur vos codes d’accès ou vos mots de passe sans les avoir appris. Et puis des méthodes pour retenir des chiffres, le nom des gens, une liste de course ou le contenu d’un livre, etc.
Je ne vous les conseille pas. Leur efficacité est défaillante tant que vous n’avez pas opéré dans votre vie courante les quatre changements indiqués plus haut. Parce que c’est la base. Évidemment, si vous l’avez déjà fait, ces techniques et ces méthodes vous deviennent accessibles.
Alors, puisque vous aurez déjà une bonne mémoire, vous pourrez devenir un mémorisateur hors pair. Et vous aurez encore plus confiance en vous. Mais… commencez par le début !
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